À quelques semaines des 2e élections législatives après l’adoption de la nouvelle constitution, des manœuvres des altercations, des scandales et des rappels à l’ordre marquent la scène politique marocaine. Mais c’est la mystérieuse marche contre Benkirane du dimanche 18 septembre 2016 à Casablanca qui représente la goute d’eau qui a fait déborder le vase. À elle seule, elle illustre la crise que traverse la démocratie au Maroc à cause de l’éclatement et des déchirements qui affaiblissent les partis politiques en les rendant pratiquement impuissants devant les attentes grandissantes des citoyens marocains, déjà à bout de patience.
Face à cette réalité désolante, Abdou Zirat appelle ses concitoyens au Maroc et à travers le monde à un vote sanction, un vote blanc.
Une sorte de révolution blanche qui forcerait le départ à la retraite des vieux politiciens pour laisser place à une nouvelle génération de jeunes, capables de mieux interagir avec les réalités du Maroc du 21e siècle, loin de toute démagogie ou petites considérations politiciennes.
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